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News Superman : les VFX, Jimmy et Metamorpho !

Après avoir terminé le tournage et décliné les reshoots, James Gunn est au travail peu avant la rentrée et, comme de coutume, s'adonne aux questions/réponses alors que le reste du casting assure les promotions ou passait ses vacances aux Jeux Olympiques de Paris.



Alors VFX de qualité ou pas ?

Encore une fois, James Gunn était sollicité sur les réseaux par les internautes au sujet des effets spéciaux (VFX) généralement source de retards et décalages temporels ou de déception comme l'a illustré le film The Flash sorti en 2023.



Internaute : @jamesgunn Ces dernières années, les artistes VFX, surchargés de travail et sous-payés, ont été contraints de travailler dans des délais très courts, ce qui a conduit à des images de synthèse de mauvaise qualité dans de nombreux films à gros budget. Avez-vous l'intention d'adopter une approche différente pour vos films DC ? James Gunn : Si vous faites quelques recherches, vous verrez que mes films ont toujours adopté une approche différente et que j'ai toujours donné à mes artistes-collaborateurs VFX le temps de faire leur travail correctement, ainsi que le respect qu'ils méritent. Et la qualité des effets visuels dans ces films est uniformément excellente grâce à cela (et parce que mes amis de Weta, Framestore, ILM et d'autres encore sont incroyablement talentueux). C'est pourquoi nous avons terminé Superman un an avant la sortie du film et qu'ils ont travaillé d'arrache-pied sur de nombreux plans pendant des mois. C'est la raison pour laquelle nous commençons à monter avec enthousiasme pendant le tournage. C'est la raison pour laquelle je me prépare si vigoureusement et que nous ne tournons que des scénarios terminés. Et Supergirl, que je ne réalise pas, est traitée de la même manière. Je ne saurais trop faire l'éloge des artistes VFX qui nous aident à créer de la magie.

L'échec artistique ou technique autour des effets spéciaux des derniers films DC ou Marvel, parmi le grandes productions d'Hollywood a été ces dernières années le signe d'une crise industrielle. Elle a été expliqué pour différents projets par la surcharge de travail et les délais délirants imposés aux agences de VFX au point d'en faire à tort et à travers, avec une qualité moindre.


Le sujet a fait couler beaucoup d'encre ces derniers mois. Par conséquent, le questionnement est intéressant dans le monde des blockbusters super-héroïques et en particulier quand DC Studios se relance avec son plan de 10 ans et son premier chapitre Gods & Monsters.


Si les effets spéciaux figurent aussi dans les films de James Gunn (Suicide Squad, Peacemaker, la saga des Gardiens de la Galaxie, etc.) notamment avec Weta Digital, le réalisateur se défend de travailler différemment avec les agences en prenant en compte dans son plan d'action le temps nécessaire à leur travail qu'il juge comme "une partie de la magie" qu'il nous adresse. Il explique dès lors qu'il a prévu un an pour ceux de Superman tout en ayant sans doute commencé au fur-et-à-mesure du tournage.




Jimmy Olsen Gisondo !

Le réalisateur publiait également sur Threads et Instagram un message pour l'anniversaire du personnage le 26 août (1941) :



Joyeux anniversaire au "pote" de Superman, Jimmy Olsen, qui a fait ses débuts en ce jour de 1941 (bien qu'il soit apparu plus tôt en tant que "garçon de bureau" dans Action Comics #6). Créé par Jerry Siegel, Joe Shuster et Bob Maxwell. J'ai hâte que vous découvriez l'interprétation de skylergisondo dans Superman le 11 juillet 2025. @dcofficial @superman

Nous aurons prochainement un dossier sur le personnage iconique, mais Gunn rappelle les premières informations sur le meilleur ami de L'homme d'acier. Il est créé par Jerry Siegel et Joe Shuster en 1938 et apparait en tant que « garçon de bureau » anonyme avec un nœud papillon dans l'histoire "Superman's Phony Manager", publiée dans l'Action Comics #6 (novembre 1938). Rétroactivement, cette publication a été considérée comme la première apparition de Jimmy Olsen. Pour autant, il est commun de considérer sa première présence dans les scripts de Robert Maxwell pour l'émission radio The Adventures of Superman dès 1940, avant de le retrouver dans le Superman #13 du 26 août 1941.




Metamorpho...

Toute petite news histoire de ne pas l'oublier, car on avait presque oublié que Metamorpho incarné par Anthony Carrigan fait aussi partie du film Superman (comme Otis d'ailleurs).


Question d'un internaute à laquelle James Gunn a répondu de façon très laconique :


Internaute : @jamesgunn Bonjour James, je voulais vous demander si le personnage de Metamorpho sera réalisé à 100% en CGI ? James Gunn : Non.

Comme cela c'est fait. Pas de commentaire monseigneur !

Si bien sûr, on a pu apercevoir avec les autres héros un homme tout en bleu lors du tournage. Je m'interrogeais sur le fait de savoir si cela ne pouvait pas être lui, justement ? Pas sûr du tout après cette réponse. Deuxièmement, pour clore la boucle concernant les effets spéciaux, le réalisateur assure qu'il n'y aura pas pour Metamorpho de simple création en images de synthèse ou selon d'autres techniques de post-production, mais bien un travail aussi en practical (effet spécial produit physiquement tels que les maquillages et prothèses). Il s'était positionné sur une utilisation partielle de effets techniques et la confirme ici de nouveau. Donc il reste droit dans ses bottes et nous verrons bien ce que cela donnera dans le film.


Peu d'informations, mais quelques-unes tout de même avant que nous retourniez au travail également.

Voilà pour ce nouveau petit article estival sur Planet Superman. Restez connectés à notre site pour les prochaines informations supermanesques.


JA

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